Clayton Finegan [EN ATTENTE]

IDENTITÉ
• Nom et Prénom(s) : Clayton Finegan
• Surnom : "Monsieur Finegan"
• Race : Humain
• Sexe : Mâle
• Âge : 41 ans
• Casier Judiciaire : Vierge
• Situation familiale : Célibataire et sans enfants
• Dossier Médical : Tremblement (traitement : bétabloquant ou benzodiazépines en cas de crise.)
• Compétences – Parcours professionnel :

1652-1658 : Capitaine de clipper
1647-1652 : Mercenaire
1639-1647 : Sergent dans l'infanterie aéroporté exilé

Imaginez-vous dans les situations listées ci-dessous, et décrivez la façon dont vous réagiriez.

• Une bagarre éclate dans une taverne bondée de monde, et quelqu'un finit par renverser votre verre.

Je vais pas m'esquinter la santé dans une stupide rixe de taverne à cause d'un verre renversé. Je laisse ça au abrutis qui sont pas foutu de garder leur self-control. Pour ma part je sors prendre l'air et je me fume un cigare le temps que la bagarre se calme. Après quoi je dépouille le premier imbécile inconscient pour me payer un autre verre.

• À Thayd, un mendiant - d'une race différente de la votre - s'approche en vous suppliant de lui laisser quelques pièces.

Vaudrait mieux que ce type travail pour mériter ça croute. Mais bon, au moins les assistés et les incapables dans son genre font de mal à personnes. Je lui file quelques crédits pour qu'il me lâche les basques et je passe mon chemin .Je vais pas m'apitoyer sur tout ce qui vit, je suis pas la reine d'Arboria que je sache.

• À Thayd, un mendiant - de même race que la votre - s'approche en vous suppliant de lui laisser quelques pièces.

Je le traite pas différemment du précédent. De la viande c'est de la viande je laisse le racisme et l'élitisme aux dominiars et aux arriérés.

• Vous découvrez le corps sans vie et mutilé d'un membre de votre faction dans les plaines sauvages de Galeras. Le plandragon à l'origine du massacre est loin. Personne aux alentours.

Au moins le pauvre type en a finit de cette chienne de vie. Moi qui dois encore en supporter le fardeau, je soulage la dépouille de ses dernières richesses. après tout, les mort n'ont plus besoin de leurs possessions  terrestres.

• Un supérieur hiérarchique vous donne un ordre qui va à l'encontre de vos principes les plus essentiels.

La hiérarchie je l'emmerde. Si je veux qu'un malade de l'autorité m'aboie des ordres débile je retournerais dans l'armée. Je suis un homme libre avant tout et je renierais pas mes principes pour de l'argent. Heureusement pour vous, respecter mes partenaires en affaire fait parti de ces principes.

• On vous propose un travail grassement payé et pas forcément très légal, qui implique une transaction avec un groupe de membres du Dominion.

Grassement payé... Mouai. Le dominion à plutôt tendance à payer à coup de trahisons et de couteaux dans le dos et moi j'aime pouvoir faire confiance à mon employeur. M'enfin s'il y a moyen de se faire payer d'avance alors on pourra négocier.

• Vous vous retrouvez au centre d'un conflit armé opposant des troupes militaires Exilées et du Dominion.

Je me planque et j'attend l'opportunité de me barrer. Pas envi d'être dans les parages quand les vainqueurs n'auront plus d'autres cibles.

• Au détour d'une ruelle, vous apercevez une jeune femme vêtue de haillons se faire violemment agresser par deux Granoks à l'air moribonds.

Je les abats comme des chiens. Je supporte pas les types qui abusent de la force pour s'en prendre à plus faible qu'eux. Ces bâtards sans cervelles manqueront à personne.

• Vous avez une petite fringale. Un restaurant chic, une cantine populaire, des miettes de pain au fond du sac, etc... les possibilités sont nombreuses.

Je préfère les restau chic mais faut vivre avec ses moyens alors ça sera les miettes de pains au fond du sac...

• Un individu peu recommandable vous propose de lui acheter – à bon prix – de la poudre de larves Lopps, en vous vantant ses qualités hallucinogènes et psychotropes.

Je suis suffisamment drogué comme ça avec les médocs que je prend. pas besoin d'avaler cette merde en plus du reste.

• Lors d'une conversation de comptoir, vous entendez un Aurin parler de ses croyances, et du lien fort qu'il entretient avec la nature.

Les discutions sur la spiritualité c'est pas ma tasse de thé. Je le laisse déblatéré ses âneries sans y prêter attention.

• Vous rencontrez un Mordesh qui exprime toute sa haine envers le professeur Lazarin. Un humain rétorque que les Mordesh, ces bêtes de foire, n'ont rien à faire parmi les Exilés.

Vous vous rappelez ce que j'écrivais à propos du racisme? Bref,je me contente de m'occuper de mes affaires.

• À Algoroc, une foule s'est rassemblée autour de l'Amiral Brightland qui donne un discours enflammé sur la fierté qu'il éprouve d'être un Exilé.

Je suis pas un patriote et je préfère éviter les individus
de cette espèce. Je passe mon chemin.